mardi 9 avril 2019

Algériens résident a l'etranger

Résultat de recherche d'images pour "emigres algeriens en  algerie"La politique menée depuis peu par les autorités incitant la communauté nationale établie à l'étranger à venir investir en Algérie redouble de garanties et de gages à l'endroit de nos émigrés.
Ainsi, par la voix du député FLN de l'immigration, Djamel Bouras, l'Etat algérien vient de décider de la suppression de la fameuse règle des 51/49 à leur profit alors que jusque-là les projets d'investissements des Algériens établis à l'étranger y étaient soumis.
M. Bouras, qui s'exprimait hier en ligne sur le réseau facebook, s'est d'autant plus félicité de cette annonce que celle-ci réhabilite les Algériens établis à l'étranger, les intégrant au sein de la communauté nationale à part entière.
Résultat de recherche d'images pour "emigres algeriens en  algerie"S'agissant des autres facilitations non de moindre importance, le député a détaillé les mesures incitatives à leur endroit en matière des procédures de créations de micro-entreprises par le biais des dispositifs Ansej et Cnac, notamment. Nos émigrés, a-t-il fait état, y seront éligibles et bénéficieront de la part de ces organismes d'un financement sans intérêts pouvant aller jusqu'à 12 millions de dinars, selon l'importance du projet. Il annoncera, par ailleurs, la suppression du certificat de résidence exigé jusqu'ici aux ressortissants algériens désireux d'investir en Algérie. Sur le lancement récent d'un programme de logements LPP à leur profit, Djamel Bouras, tout en rappelant que ce programme concerne les 48 wilayas du pays, informera du paiement du logement en devises, soit un montant de 40 000 euros l'unité, l'équivalent de 8 000 000 DA. Il rassurera, néanmoins sur la disponibilité des banques publiques à octroyer des prêts-logements à leur profit.
Résultat de recherche d'images pour "emigres algeriens en  algerie"Résultat de recherche d'images pour "emigres algeriens en  algerie"Djamel Bouras, sur un autre volet mais tout autant au bénéfice de la communauté nationale de l'étranger, énoncera deux autres mesures d'incitation à même de la stimuler à consentir à venir dans leur pays. La première a trait à l'engagement de l'Etat à prendre en charge le rapatriement d'un ressortissant décédé à l'étranger dans le cas où sa famille n'en aurait pas les moyens. La seconde mesure porte sur la prise en charge du problème lancinant pour nos émigrés de la cherté du billet d'avion. A ce propos, le député de l'immigration fait état de négociations de la compagnie nationale Air Algérie avec une autre compagnie low coast en vue d'un prix du billet d'avion abordable.
Autant de détails et précisions qui viennent conforter la volonté des pouvoirs publics d'attirer l'investissement de nos émigrés au service de l'économie nationale.
Pour rappel, le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, a, ainsi, fait état en septembre de l'année 2017, de la volonté du gouvernement à renforcer le dialogue avec la communauté algérienne à l'étranger, exprimant son souhait de voir cette communauté s'ériger en lobby afin de contribuer au développement socio-économique de l'Algérie.



Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Les réflexions que vous ajoutées sont essentielles pour le site , merci de votre contribution.