Invité par la grande école HEM d’Oujda le 5 mars, le chef du
gouvernement Abdelilah Benkirane (parti islamiste du PJD) en a eu pour
ses frais. Des jeunes ont investi la salle et sont montés à la tribune
pour exprimer leur ras-le-bol : «Ici à Oujda, nous ne vivons ni du
phosphate ni de l’agriculture. Ici, nous vivons de l’essence de
l’Algérie. Mais depuis la fermeture de la frontière (creusement des
tranchées par l’armée algérienne et érection d’un grillage par son
homologue marocaine sur le tracé frontalier) le crime a amplifié. Dégage
!»
Il faut dire, que même du côté algérien, particulièrement sur la bande
frontalière ouest (Bab El Assa, Marsa Ben M’hidi, Beni Boussaïd…), le
pouvoir d’achat a fortement baissé. Des familles des deux côtés de la
barrière interpellent leurs gouvernants respectifs pour leur trouver une
alternative…
El Watan-mars 2016.
salam, la honte du monde entier en tous cas la france reussi parfaitement son plan!!
RépondreSupprimerC'est toujours la faute a l'autre . Si c'est pas le Maroc c'est la France si c'est c'est pas l'autre c'est l'étranger l'Algérie n'a pas besoin de a qui la faute elle a besoin d'hommes qui avancent
RépondreSupprimersalam! elle a surtout besoin d hommes qui veulent avances!!!
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