Pour les habitués de la zone frontalière (Bab el Assa-Maghnia-carrefour 35-Remchi, sur la route de Tlemcen et d’Oran), les trafiquants évoluent en terrain conquis, au nez des services de sécurité.
« Ce qui est frustrant, c’est que ces meurtriers de la route, ces suceurs de l’économie nationale passent et repassent devant les barrages des gendarmes, des douanes et de la police tous les jours sans être inquiétés.
Ce trafic ne pourrait exister s’il n’y avait pas des complicités .
« Pourquoi jeter la pierre que sur les hallaba?
Nous payons au niveau des stations pour nous faire livrer, nous payons dans les barrages, nous payons sur la frontière… Nous n’arrêtons pas de payer.
Alors, parlez de tout le monde ou ne dites rien ! », s’énervent deux jeunes faisant la queue devant une station-service.
Ces trafiquant paient des impôts, même si ce n’est pas à qui de droit.
« Exactement et je dirais même que si cette profession était légalisée, l’Etat nous ferait payer moins ».Le wali le sait-il ?
meme les stations service travaille avec les hallabas tout le monde travaille avec police gendarmerie douane
RépondreSupprimerl annee passe j allais jusqu a la station zianides apres tlemcen 3 fois par semaine pour faire le plein j y allais tres tot le matin car meme sur l autoroute a partir de 11h00 c etait la chaine!
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