Analphabète, dans cette période où il n’existait pas d’établissements d’enseignement et de formation, elle a appris en qualité de femme de ménage chez le caïd du village.
Elle a appris par l’intermédiaire d’une sage-femme , française, qui venait de Maghnia chez le Caïd chaque fois. Et de jour en jour, En plus de son travail d’accoucheuse rurale, elle a participé comme tissal, au cours de la guerre de lutte de libération nationale et sortait avec un laisser passer aux villages.
Oum El Ez était très courageuse, respectée, avec des valeurs humaines. Elle se déplaçait partout sur invitation des familles de cette région rurale et montagneuse.
Cette femme née en 1897 à Laachache, fille de Benchohra ould Bouziane, mariée avec deux enfants, une fille et un garçon, est devenue veuve à l’âge de 26 ans après le décès de son époux, refusant de se remarier pour s’adonner à son métier d’accoucheuse rurale .
Elle est décédée le 10 août 1983. Elle a à son actif plus de sept cent accouchements.
Et c’est dans cette optique que sa famille, dont Benchao Mohamed, de Souani ont tenu à fait revivre son parcours, son passé historique pour que nul n’oublie ces nobles métiers traditionnels d’antan.
salam! Des femmes comme il n'en existe plus aujourd'hui!!,autrefois ,ce que certains appelais aujourd'hui mariage forcé ces femmes qui on engendré des revolutionnaires ,des guerriers pour laisser la place aux soit disant mariage libre qui engendre que de la connerie!!
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