mercredi 16 mars 2016

Oujda (Maroc) «Nous vivons de l’essence de l’Algérie, pas du phosphate !»

Invité par la grande école HEM d’Oujda le 5 mars, le chef du gouvernement Abdelilah Benkirane (parti islamiste du PJD) en a eu pour ses frais. Des jeunes ont investi la salle et sont montés à la tribune pour exprimer leur ras-le-bol : «Ici à Oujda, nous ne vivons ni du phosphate ni de l’agriculture. Ici, nous vivons de l’essence de l’Algérie. Mais depuis la fermeture de la frontière (creusement des tranchées par l’armée algérienne et érection d’un grillage par son homologue marocaine sur le tracé frontalier) le crime a amplifié. Dégage !»
 Il faut dire, que même du côté algérien, particulièrement sur la bande frontalière ouest (Bab El Assa, Marsa Ben M’hidi, Beni Boussaïd…), le pouvoir d’achat a fortement baissé. Des familles des deux côtés de la barrière interpellent leurs gouvernants respectifs pour leur trouver une alternative…
El Watan-mars 2016.

3 commentaires:

  1. salam, la honte du monde entier en tous cas la france reussi parfaitement son plan!!

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  2. C'est toujours la faute a l'autre . Si c'est pas le Maroc c'est la France si c'est c'est pas l'autre c'est l'étranger l'Algérie n'a pas besoin de a qui la faute elle a besoin d'hommes qui avancent

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  3. salam! elle a surtout besoin d hommes qui veulent avances!!!

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